La thérapie psycho-comportementale appréhende la personne dans son ensemble en tenant compte de son passé, de ses croyances, de son entourage, de ses désirs, de ses habitudes et de tout ce qui constitue son histoire personnelle intime.
En ce sens, la thérapie psycho-comportementale réconcilie les techniques traditionnelles d’analyse de l’inconscient et l’approche alternative proposée ici, plus respectueuse de la personne dans sa globalité et sa vulnérabilité.
Tout mal-être plonge ses racines dans la psyché du patient. Traumatismes, refoulement ou défoulement sont le résultat d’épisodes enfouis dans l’inconscient et s’expriment de manière parfois à peine voilée.
Le corps émotionnel de l’enfant, en raison de son manque de maturité, est plus vulnérable que celui de l’adulte.
A l’heure où les couples se défont très vite, certains ont à cœur de chercher à comprendre ce qui pollue, paralyse ou oppresse leur relation amoureuse.
Soutien à l’éducation parentale : être parent aujourd’hui ressemble parfois à un parcours du combattant semé de pièges douloureux : incompréhension, impuissance, désarroi, solitude, souffrance, colère, peur, tristesse…
Intervention en milieu professionnel : un des principaux motifs de consultation pour dépression reste la souffrance au travail.
Prendre RDV
Par téléphone : 06 27 40 60 41
En ligne : Cliquez ici
Discrétion et confidentialité absolues.
Adresse
73 rue de paris, 24260 Le bugue
(cabinet infirmier en face de la gendarmerie)
Tarifs
Adulte 65 euros (une heure)
Enfant (jusqu’à 14 ans ) 48 euros ( 45 minutes)
Couple 80 euros (une heure trente)
La thérapie psycho-comportementale (à laquelle appartient la TCC : thérapie cognitivo-comportementale) est l’ensemble des moyens mis en œuvre pour accompagner une personne en prise à un mal-être d’ordre psychique : de l’anxiété passagère à la dépression profonde, des comportements déviants aux réelles addictions ou phobies handicapantes, les désordres psychiques sont nombreux et doivent être nuancés.
La durée d’une thérapie varie d’un patient à l’autre, d’une problématique à l’autre : quelques séances peuvent parfois suffire pour répondre à des doutes passagers quand des mois (voire des années) seront nécessaires pour accompagner des personnes victimes de maltraitance ou de traumatismes profonds.
A l’aide d’entretiens réguliers et ciblés, le patient retrouve peu à peu la maîtrise de ses émotions et de ses pulsions. Quand le patient comprend la fonction de l’émotion ou de la réaction concernée, la résolution du conflit intérieur, du malaise ou de la crise d’angoisse devient possible car tous ces éléments sortent enfin de l’ombre sous le regard vigilant et expérimenté du thérapeute.
LIBERTE :
Pour enseigner à quelqu’un comment ne pas couler au fond d’une rivière, il est avantageux d’avoir soi-même traversé quelque océan inhospitalier à la nage et sans bouée : les dimensions du grand large sont effrayantes et il peut parfois sembler impossible de ne pas sombrer, de ne pas se laisser couler pour de bon , tout au fond des abysses, enfin libéré du poids de son monde ou du rythme indigeste imposé par….
Mais imposé par QUI au juste ?
SUR – MESURE :
Considérons le thérapeute comme un cuisinier appliqué et talentueux, heureux de régaler ses hôtes.
Il serait dommage pour cet artiste culinaire de se spécialiser uniquement dans les entremets à l’ananas ou à la goyave.
Pourquoi se limiter ainsi ?
La psychothérapie est un domaine illimité : alors que pour certains les états hypnotiques auront une portée indiscutable pour d’autres cela sera au mieux inutile, ou au pire encore plus traumatisant que le traumatisme lui-même.
Ce ne sont pas les techniques qui définissent le travail d’accompagnement ni le résultat. C’est la capacité d’adaptation du thérapeute à la problématique du patient, à sa souffrance et à ses espérances.
SIMPLICITE :
« Quelle méthode employez-vous ? Quelle technique ?
« Moi je veux faire de l’hypnose, de la TCC, de l’EFT , de l’EMDR, du ceci ou de la comme cela…
Toutes ces approches ont leur intérêt en tant qu’outils pour parvenir au but : aider le patient à se découvrir et à modifier ce qui ne va pas en ouvrant la petite porte dérobée à sa conscience et qui mène à son inconscient.
Peu importe comment on atteint cette porte et ensuite comment on l’ouvre. Cependant, il est plus efficace de choisir la simplicité : pourquoi s’ingénier à tourner la poignée avec les dents ou les pieds alors que celle-ci s’actionne facilement avec les mains ?
BIENVEILLANCE-CLAIRVOYANCE-INTELLIGENCE-VIGILANCE :
Ces 4 éléments pourraient résumer les étapes et les qualités d’une thérapie. Pour aider un être qui va mal il est bon de :
– Aimer l’autre en tant que personne
– Discerner rapidement ce qui l’habite et l’oppresse
– Elaborer efficacement la dynamique qui va donner au patient des moyens de sortir de sa problématique
– Demeurer en hyper-vigilance afin de servir de garde-fou en cas de chute